L’orbe du monde tourne toujours,
Attiré par les tristes jours.
La réalité perd son sens,
L’Homme a gaché sa seule chance.
Seul et pourtant rêvant d’amour,
L’Homme engage un bien triste tour :
Voit la confiance trop immense
Tuée dans la plus belle danse.
Adieu, amants ; adieu, aimants !
Et laissez là vos sentiments,
Ils sont bien las du monde rude.
Je me réjouis du froid printemps,
Qui rejette les mauvais temps.
Bonjour, amie ; ma Solitude !